c est encore mieux l après midi theatre
Duthéâtre détente, ce dimanche à l'Opéra de Vichy pour débuter l'année avec «C'est encore mieux l'après midi» de Ray Cooney. Huit
Cest encore mieux l'après-midi 17 Mars 2017 Rédigé par Yves POEY et publié depuis Overblog (c) Photo Y. P. - On dira ce qu'on voudra, mais rire de bon cœur à un excellent vaudeville, porté par d'excellents comédiens dirigés par un excellent metteur en scène, ceci devrait être remboursé par la Sécurité Sociale !
Spectacleterminé depuis le 14 mai 2017 Prix tous frais inclus Photos & vidéos < > play C'est encore mieux l'après-midi De Ray Cooney Adaptation Jean Poiret Mise en scène José Paul Avec Sébastien Castro , Guillaume Clérice , Anne-Sophie Germanaz , Pascale Louange , Lysiane Meis , José Paul , Guilhem Pellegrin , Thomas Sagols
C’est encore mieux l’après midi » (Two into one – 1984) du génial auteur Ray Cooney est à se plier de rires ! Le metteur en scène José Paul a le sens du rythme, ce talent si particulier que l'on croit souvent être réservé aux anglo-saxons. Mais l’adaptation de Jean Poiret n’est évidemment pas étrangère à cette alchimie
Cest encore mieux l’après-midi, c’est 1H30 de rire et de bonne humeur ! Accourez à La Coupole pour venir assister à la comédie la plus folle et la plus drôle de la saison théâtrale parisienne et nominée aux Molières 2018 : par le génie de l’auteur anglais Ray COONEY, adapté par le génie français de la comédie Jean POIRET, et
nonton the walking dead season 11 episode 18. C’est encore mieux l’après-midi Jusqu’au 4 juin 2017 Au Théâtre Hébertot de Ray Cooney Adaptation française Jean Poiret Avec Pierre Cassignard, Lysiane Meis, Sébastien Castro, Guilhem Pellegrin, Pascale Louange, Guillaume Clérice, Rudy Milstein et Anne-Sophie Germanaz Mise en scène José Paul Décors Jean Michel Adam Offrez-vous une bonne tranche de rigolade dans un contexte morose avec ce vaudeville pour le moins plus que réussi. C’est encore mieux l’après-midi possède tous les codes du théâtre de boulevard des personnages aux caractéristiques poussées au max, des rebondissements, des quiproquos et des sous-entendus à mourir de rire. Des scènes cocasses, des retournements de situation, portes qui claquent, on ne sait jamais où ça va s’arrêter tant le ridicule va chercher toujours plus loin, tant chaque nouvel événement est toujours plus catastrophique que le précédent. Le Ca ne peut pas être pire » n’existe pas ici. Et si il n’est pas de bon ton de rire des gens, on se l’autorise sans honte dans cette pièce où il ne se passe pas un instant durant lequel on s’ennuie. Le rythme est saisissant et quant au jeu des comédiens, il ne fait qu’épaissir encore le niveau comique du texte avec élégance, éloquence dans un décor qui ne manque pas d’étonner. Détonnant d’humour ce Noirmoutier !!! L’histoire Dans un hôtel proche de l’Assemblée Nationale, un célèbre député se prépare à un après-midi coquin avec une secrétaire du premier ministre au lieu d’assister à un débat parlementaire de la plus haute importance. Mais la présence de sa femme dans le même hôtel et la maladresse chronique de son assistant vont déchainer les catastrophes et toute une série de quiproquos hilarants ! La comédie la plus folle et la plus drôle du génie anglais Ray Cooney. Crédit photo Lot Cest SITE OFFICIEL BILLETTERIE Aurélien
Pièce de Ray Cooney Richard Marchelier, député qui défend la vertu, vient dans un hôtel parisien avec son épouse en espérant rencontrer la secrétaire du Premier ministre. Il doit participer à un débat sur le projet Sexe et Sécurité, mais sa femme Christine qui devait aller au théâtre préfère passer l’après-midi avec Georges, le secrétaire gaffeur. Florentine Duray, membre de l’opposition est dans le même hôtel. Des portes claquent, les baignoires débordent... mais la morale est sauve. Photos C’est encore mieux l’après-midi 2006
Programme TV /C'est encore mieux l'après-midiDisponible dans une option payanteCulture - ThéâtreNon diffusé en ce moment à la télévisionCulture - ThéâtreDans un hôtel proche de l'Assemblée nationale, un célèbre député se prépare à un après-midi coquin. Or sa femme se trouve dans le même hôtel...Dans un hôtel proche de l'Assemblée nationale, un célèbre député se prépare à un après-midi coquin. Or sa femme se trouve dans le même hôtel...Télécharger Molotov pour regarder la TV diffusé en ce moment à la télévision
Accueil Hauts-de-France Sambre - Avesnois Hilarius, ce sont aussi, à Saint-Hilaire-sur-Helpe, en accès libre, de courtes scènes de théâtre programmées de 17 à 20 h, les 13, 14, 15, 16 et 17 juillet. Le spectateur y fait toutes sortes de rencontres comme un curé ou une conductrice de calèche en verve, bel avant-goût de la comédie musicale à 22 h 30. Par Géraldine Beys texte et Sami Belloumi Photos Publié 13 Juillet 2022 à 07h00 Temps de lecture 1 min Il faut y aller. C’est à Saint-Hilaire-sur-Helpe où se joue la comédie musicale futuriste Hilarius jusqu’à dimanche soir. Mais avant d’en arriver là, le pré-spectacle en fin d’après-midi et début de soirée vaut le détour. De courtes scènes sont jouées ayant pour cadre des lieux publics du village. Des histoires sont racontées. C’est un curé qui monte en chaire, une conteuse dans une calèche qui ne manque pas de verve et d’autres scènes encore, en lien avec des faits historiques saint-hilairois ou puisant leur inspiration dans le propos d’Hilarius. L’église de Saint-Hilaire-sur-Helpe se prête volontiers à l’une des courtes pièces théâtrales racontée dans le pré-spectacle d’Hilarius. PHOTO SAMI BELLOUMI LA VOIX DU NORD. - VDNPQR Hilarius est une terre sans eau nous transportant en 3050 dans un monde tendu compte tenu de l’épuisement des ressources. Hilarius, dès 17 h ou en soirée à 22 h 30 pour le son et lumière, ça vaut le coup. Renseignements sur et 06 56 80 02 34. Gratuit l’après-midi. 21 € le son et lumière de 22 h 30 et 16 € tarif réduit. Gratuit moins de 8 ans. Lire aussi Grand-Fayt elle reçoit une demande en mariage, alors qu’elle se trouve dans les airs Marpent plus de 70 nouveaux logements attendus, rue Albert-Camus Étrœungt l’ancien maire Pierre D’halluin est mort Poursuivez votre lecture sur ces sujets Théâtre Culture Environnement Saint-Hilaire-sur-Helpe 59440, Nord Avesnes-sur-Helpe 59440, Nord Prendre a coeur notre environnement Aucune commune ne devrait imposer un projet architectural d'ampleur sans un referendum. Sur l'escaut...Lire plus A lire aussi Grand-Fayt elle reçoit une demande en mariage, alors qu’elle se trouve dans les airs Marpent plus de 70 nouveaux logements attendus, rue Albert-Camus Étrœungt l’ancien maire Pierre D’halluin est mort Le Quesnoy à Intermarché, les agriculteurs demandent la hausse du prix du lait Avesnois On ne va plus être très loin de la récolte de miel du siècle!» Rousies un immeuble de la résidence du Chemin vert évacué après un incendie, une enquête ouverte Voir plus d'articles
Cinéma Publié le 04/06/08 mis à jour le 08/12/20 Partager La mort du cinéma, on y a tous pensé. C’est idiot, c’est plus fort que nous. En s'improvisant devin, on a dû un jour annoncer sa fin vers 2015. Cette lubie court depuis fort longtemps, en vérité depuis plus d’un siècle. Curieux comme le cinéma, pourtant jeune, est né vieux. A peine avait-il vu le jour que la nuit le poursuivait déjà. Marqué d’un sceau funèbre, il a grandi en orphelin. Un bâtard croisement de la peinture, du théâtre et du roman, suscitant tour à tour pitié ou convoitise. Dès les années 1920/30, toutes sortes de Cassandre – des personnes loin d’être bêtes, comme Philippe Soupault ou Abel Gance... – prophétisaient sa mort imminente. Aimer le cinéma, c’est aussi se repaître de son déclin. Mais voilà, seul ou avec des complices, le cinéma a évolué, a connu des mutations et des extensions. Nombreux furent ses ennemis désignés le parlant, la couleur, la télévision, les magnétoscopes, les DVD, la VOD, la projection numérique, etc. C’est peut-être à la fin des années 80 que la délectation morose a atteint son apogée. Souvenez-vous des interviews avec Wenders ou Godard, des écrits de Serge Daney. L’ambiance était alors à l’oraison funèbre. La belle série d’émission Cinéma cinémas consacra ce penchant mortifère, en célèbrant de manière nostalgique un âge d’or mais révolu du cinéma. Il n’y a pas de honte à ça. La nostalgie n’est pas un plaisir coupable et tout le monde peut l’éprouver, même ceux qui s’en défendent. Ainsi chacun pense que sa jeunesse cinéphile est la plus glorieuse qui soit. Sans nécessairement voir que dans jeunesse cinéphile », le terme le plus important c’est jeunesse ». A quoi bon s’enorgueillir d’avoir été le contemporain de la Screwball comedy, du néoréalisme italien ou de la Nouvelle Vague ? De toute façon, je serais bien mal placé j’appartiens à la première génération perdue ? qui a découvert le cinéma... à la télévision ! Eh oui, avant de hanter les salles obscures, j’ai goûté aux films du dimanche soir ceux de Sautet comme de Verneuil à une époque où l’on ne parlait pas encore de prime-time. Cela ne m’empêche pas de constater combien le cinéma en salles a changé et de me souvenir non sans délice du temps où le programme de la cinémathèque de Chaillot était une feuille de couleur dactylographiée, du temps où l’on pouvait rentrer dans un cinéma, y rester l’après-midi, passer d’une salle à l’autre, du temps où la réservation d’une place n’existait pas, du temps aussi où les salles sentaient méchamment des pieds. Ce n’était donc pas forcément mieux avant. C’était différent, voilà tout. Aujourd’hui, curieusement, on ne parle plus de la mort du cinéma. Mais plutôt de crise, liée au système d’aide, d’exploitation ou de diffusion. Le cinéma n’est plus un, il s’est complexifié, multiplié, diversifié. Il existe hors des salles. Il est presque partout. Est-il pour autant vivant ? Partager Contribuer Postez votre avis Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S’abonner
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